Yveline témoigne ici par touches successives et délicatesse de ces abus spirituels qu’elle a subis au cours des années 90 dans des communautés charismatiques, parce qu’elle est homosexuelle. Pendant des décennies, elle va rester dans la honte et la culpabilité dans lesquelles des personnes l’ont enfermée au nom de Dieu. S’en suit un long isolement familial, amical, social. Yveline finit par rencontrer des chrétiens qui l’aident à accueillir son homosexualité et à choisir la vie.